Le matériel de la brodeuse
Mise à jour  : 10.07.2020
Vous débutez la broderie et ça vous plait ? Vous souhaitez commencer à vous équiper, mais parmi tous les choix qui s’offrent à vous, difficile de faire le tri. Pour vous aider dans votre démarche, je vous propose une liste de matériel pour votre trousse de brodeuse. Sélectionnez ses outils en fonction de vos besoins et peut-être que vous avez déjà de petites choses chez vous.
Les outils de coupe
Les ciseaux à broder
Ce sont de petits ciseaux (9 à 10 cm), fins et pointus qui permettent d’être précis et de couper les fils au ras de la broderie. En tant que brodeuse, c’est la paire de ciseaux que vous utiliserez le plus.
Les ciseaux de couture
Ce sont de grands ciseaux (18 Ã 25 cm). Ils vous permettront de couper vos toiles et tissus rapidement et sans effort.
Les ciseaux « d’écolier »
Une paire de ciseaux supplémentaire peut être utile pour découper vos patrons, car on ne coupe jamais du papier avec des ciseaux destinés aux fils et tissus. Vos lames risqueront de s’émousser.
Mercerie : Outils de coupe
Les aiguilles
Les aiguilles à broder 5/10
Les aiguilles à broder (ou aiguilles Crewel) ont un chas légèrement allongé pour que les fils ne s’abîment pas. Numérotées de 1 à 10, elles sont adaptées pour la broderie traditionnelle. Un paquet 5/10 contient des aiguilles allant de la taille N°5 à la taille N°10, plus le chiffre est grand plus l’aiguille est fine.
Mercerie : Aiguille à broder
Il existe une grande variété d’aiguilles. Pour débuter un paquet d’aiguilles à broder 5/10 est un grand classique. Elles s’adaptent à de nombreuses situations. Toutefois, pensez à vous renseigner sur le type d’aiguille de votre technique pour broder dans de bonnes conditions.
Lire : Choisir des aiguilles adaptées à son projet
Le pique aiguille
Sous la forme d’un petit cousin, le pique aiguille évite de faire tomber ses aiguilles au sol. Ainsi vous ne risquez pas de marcher dessus ou de les perdre. Elles sont également plus faciles à attraper lorsqu’elles sont piquées dans le coussin que posées sur une table.
les outils de dessin et de transfert
Le papier carbone
Le papier carbone permet de reproduire un dessin sur le tissu. Il en existe de plusieurs couleurs. Le choix se fera en fonction de votre tissu : une couleur claire pour un tissu foncé et une couleur foncée pour un tissu clair.
Mercerie : Papier carbone
Lire : Comment transférer un motif avec du papier carbone ?
Les stylos Frixion
Les « Frixion » sont des stylos qui s’effacent à la chaleur. Ils servent à reproduire un motif par transparence ou à tracer des repères sur un tissu. Attention toutefois à ne pas en abuser, les marques peuvent réapparaître avec le temps.
Lire : Comment transférer un dessin par transparence ?
Les épingles
Quelques épingles vous seront nécessaires pour maintenir votre motif au tissu lors du transfert.
Les métiers à broder
Le tambour
Le tambour ou cercle à broder est utilisé pour tendre un tissu. Il peut également servir de cadre à votre broderie.
Mercerie : Tambour en bois de hêtre
Lire : Comment tendre un tissu avec le tambour à broder ?
Le tournevis
Cela peut sembler surprenant d’avoir un tournevis plat dans son matériel de brodeuse et pourtant, celui-ci s’avère très pratique pour resserrer la vis de votre tambour.
Les fournitures
Il existe de nombreux fils et tissus à broder, chacun avec ses particularités. Vous obtiendrez des textures très différentes en fonction du choix de vos matières. La liste ci-dessous correspond aux fournitures les plus utilisées pour les modèles de Patience et Petits Points.
Les cotons moulinés
Le fil mouliné se présente sous forme d’échevette et se compose de plusieurs brins séparables. Il se brode avec un ou plusieurs brins à la fois selon les besoins de la broderie.
Lire : Comment ranger ses fils et perles ?
Les perles de rocaille
Les rocailles sont des perles en verre. Opaques ou transparentes, elles sont déclinées dans une grande variété de couleurs. Elles existent également dans plusieurs tailles : de 1/0 à 15/0, le chiffre le plus grand correspond aux perles les plus petites.
Les paillettes plates
Les paillettes se trouvent dans de nombreuses variétés et tailles différentes. Les plus couramment employées sont les paillettes 4mm. L’aspect final de votre broderie changera en fonction du choix de la variété : une paillette métallique sera beaucoup plus brillante qu’une paillette porcelaine par exemple.
Les tissus
Pour la broderie traditionnelle, il est recommandé de prendre un tissu au tissage serré. Cela permet d’être précis dans son travail et d’obtenir des bords nets, notamment pour le passé plat.
Mercerie : Les tissus
Conclusion
Cette liste est un exemple parmi tant d’autres, car en fonction de votre pratique, votre matériel de brodeuse sera plus ou moins différent. Il faudra donc adapter vos achats à vos besoins. Sachez que vous pouvez demander conseil en mercerie pour vous guider dans vos choix.
Pour terminer, si j’avais un seul conseil à vous donner : c’est de privilégier la qualité. Un bon matériel, si vous en prenez soin, vous durera toute votre vie.
Pourquoi tenir un classeur de broderie ?
Il y a quelques mois j’ai commencé un classeur de broderie. J’en suis totalement fan ! Et peut-être qu’après avoir lu cet article, vous le serait aussi. Voici cinq bonnes raisons de vous lancer dans cette aventure.
1. Rassembler ses broderies
Parfois j’achète un kit ou fait un modèle pour découvrir ou travailler une technique particulière sans pour autant avoir l’envie d’en faire un objet (pochette, sac, tableau…). Et bien souvent ces broderies terminent au fond d’une boite. C’est dommage…
Couverture du classeur de broderie : modèle Sissi aussi
Pour le moment un seul cahier/classeur regroupe mes broderies, mais avec le temps je pense créer plusieurs classeurs thématiques. Par exemple un classeur sur la peinture à l’aiguille, un autre sur la broderie Glazig, etc.
2. C’est gratifiant et motivant
Ranger mes ouvrages par thématique me permet également de voir mon évolution au fil des mois dans une ou plusieurs technique(s). C’est hyper motivant de voir ses progrès d’une broderie à l’autre. On a vite envie de continuer !
3. Un cahier d’exercice où tout est permis !
Le classeur est aussi un espace créatif où il ne faut pas avoir peur d’oser. On essaie de nouvelles techniques, de nouvelles matières sans prise de tête. On peint les tissus, on déchire, on coupe, on colle, on écrit… Et si le résultat n’est pas à notre goût, ce n’est pas grave, on note les bonnes idées et on met de côté les moins bonnes.
Planche d’exercices – modèle du livre « peinture à l’aiguille » de Sarah Homfray
On peut aussi copier et s’inspirer d’une broderie ou d’un artiste pour mieux comprendre une technique. Attention cela doit rester dans un cadre strictement personnel d’auto-apprentissage et non commercial. Il est important de respecter le travail des artistes !
4. Le classeur, un système évolutif
Le système de cahier relié par une couture était pour moi trop contraignant. En effet, il faut atteindre un certain nombre de broderie pour former les pages et les relier entre elles de façon définitive. Cela peut paraitre surprenant, mais je n’ai pas la patience d’attendre d’en avoir autant pour commencer mon cahier.
J’avais donc besoin d’un système évolutif, qui grandi avec moi, en fonction de mes lubies du moment et si besoin récupérer une broderie pour en faire un ouvrage plus tard.
Ce n’est que très récemment que la solution s’est présentée d’elle-même, en regardant un classeur de scrapbooking. J’ai repris le même système d’attache pour relier mes broderies : des anneaux. Grâce à ce système je peux déplacer et insérer des pages en fonction de mes besoins.
5. Évite les stocks de sacs et pochettes inutilisés
J’adore broder ! Si je m’écoutais je ne ferais que ça. Et pour les mettre en valeur quoi de mieux qu’une jolie pochette, une boite, un pochon, un tableau, un bijou…
Mais encore faut-il en avoir l’utilité ! Après avoir brodé une pochette pour les aiguilles, pour ranger le papier carbone, les outils de coutures, les feutres, etc. Je commence à en avoir une petite collection. Je peux également en offrir, mais tout le monde n’est pas réceptif au fait main ou à la broderie dans mon entourage.
Novembre en rouge – Strawberry blossoms – French rose – plume – kikyou – renaissance – inspiration
C’est pourquoi au lieu de collectionner sacs et pochettes vides dans mes placards, je préfère broder les motifs et les regrouper dans un classeur. Seul les plus belles pièces seront utilisées pour créer de beaux objets.
Conclusion
Le classeur de broderie permet de s’exercer aux techniques de broderie. C’est une façon efficace de progresser et de développer sa créativité, comme le ferait un peintre qui dessine dans son carnet pour améliorer son coup de crayon.
Le point de feston
Le point de feston se brode de la même façon qu’un point de grébiche, la petite différence est qu’il n’y a pas d’espace entre les points. Il permet de broder principalement des bordures, de remplir des surfaces et de faire du lettrage. C’est un point très apprécié en broderie Glazig pour former des pétales ou de petites coquilles.
le point de feston Рd̩tail de la broderie Kenkizou
Utilisé en broderie richelieu (broderie blanche), il peut être rembourré pour faire du plumetis.
1. grands festons ronds – 2. Petits festons pointus – 3. Grands festons pointus – 4. Festons de roses à dents pointues – 5. Festons de roses à dents rondes. Illustrations de l’encyclopédie des ouvrages de dames par Thérèse de Dillmont
Comment faire un point de feston ?
Le point de feston se brode de gauche à droite pour les droitiers (de droite à gauche pour les gauchers) et il ne doit pas y avoir d’espace entre les points.
- Je sors mon aiguille en A (sur l’endroit du tissu) ;
- Je pique en B et ressort à coté de A en passant le fil en dessous de l’aiguille ;
- Je répète autant de fois que nécessaire et je termine par un petit point.
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Le point de feston se fait de gauche à droite. Le fil passe sous le pouce de la main gauche, placé en dehors de la ligne de tracée. L’aiguille pénètre dans l’étoffe au-dessus des points du tracé et en ressort au-dessous de ces points. On serre le point sans toutefois faire froncer le tissu. Les points suivants exécutés de la même manière, doivent être très réguliers et rapprochés autant que possible les uns des autres.
Encyclopédie des ouvrages de Dames par Thérèse de Dillmont – DMC – début XXème siècle
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Comment tendre son tissu : le tambour à broder
L’un des métiers les plus utilisés à l’heure actuelle est le tambour à broder. Celui-ci sert à tendre le tissu pour faciliter le travail de la brodeuse afin d’obtenir un ouvrage net et régulier.
Qu’est-ce qu’un tambour ? comment l’utiliser ? C’est ce que l’on va découvrir ensemble dans cet article.
Le tambour à broder, c'est quoi ?
Le tambour, aussi appelé cercle à broder est composé de deux parties qui s’emboîtent l’une dans l’autre. Le cercle extérieur possède une vis qui permet de resserrer l’ensemble afin de maintenir le tissu tendu entre les deux parties.
Choisir son tambour à broder
Il existe une grande variété de tambours. Vous les trouverez en plusieurs tailles et dans diverses formes et matières.
Un simple tambour en bois de forme ronde (diamètre 12 ou 13 cm) fait très bien le travail.
Le tambour sous cuisse, mon chouchou
Avant de vous le présenter, je tiens à préciser que le tambour sous cuisse (aussi appelé tambour genou) n’est pas du tout un indispensable pour faire de la broderie. Un petit tambour de forme ronde est suffisant (je m’en suis servi pendant des années).
Ici, je vous parle de mon chouchou, dans lequel j’ai dépensé tous mes petits sous, parce que je le trouve trop joli et que je ne peux plus m’en séparer.
Je me suis donc offert un tambour sous cuisse de marque DMC (toutes les pièces sont en bois vernis contrairement à d’autres marques). C’est un large tambour fixé à une tige amovible que l’on vient glisser dans un pied. On le pose sur notre chaise et on le maintient grâce à notre cuisse.
J’adore ce système, car il permet d’avoir les deux mains libres. On est alors beaucoup plus à l’aise pour broder et le travail gagne en précision. C’est un peu plus encombrant qu’un simple tambour à broder, mais il se transporte très facilement et s’utilise partout.
Préparer son tambour à broder
Lorsque l’on tend notre support sur un tambour, le tissu à tendance à glisser entre les deux cerceaux de bois (Surtout sur les grands tambours). Pour éviter que le tissu glisse et obtenir une bonne tension, il existe une astuce toute simple.
Elle consiste à  enrouler une bande de coton (ou du biais) autour d’un des deux cercles (Compter environ 2m de biais pour un tambour de 13cm).
Tendre son tissu à l'aide d'un tambour à broder
Pour que le tissu soit pris entièrement dans le tambour et que l’ensemble soit correctement tendu, il faut prévoir une marge assez grande autour de la broderie (environ 5 cm).
- Retirer le petit cercle et le poser à plat sur une table ;
- Placer le tissu à broder par-dessus, bien lissé, endroit face à vous. Le dessin doit être positionné au centre (1) ;
- Glisser le grand cercle sur le petit (2) ;
- Si besoin tirer un peu sur les bords pour obtenir une bonne tension et resserrer la vis pour que l’ensemble ne bouge plus.
- Vous pouvez commencer à broder (3).
Il est conseillé de retirer le tambour chaque fois que l’on finit de broder pour ne pas marquer le tissu.
Conclusion
Rapide et facile à mettre en place, le tambour à broder est idéal pour de petits projets. On le trouve dans toutes les merceries et pour tous les budgets. Il faut toutefois faire attention, il peut laisser des marques sur certains tissus, comme le velours.
Peinture à l’aiguille de Sarah Homfray
Connaissez-vous le livre « Peinture à l’aiguille » de Sarah Homfray ? Depuis cet été, je l’utilise comme guide pour m’exercer et progresser dans la technique et ça marche !
Je vous le présente en détail dans cet article.
Plusieurs fois primée pour son travail, Sarah Homfray diplômée de la Royal School of Needlework (RSN), enseigne la broderie lors de stages qu’elle organise au Royaume-Uni et à l’étranger.
Dans son livre, « peinture à l’aiguille », au travers d’exercices et d’exemples, elle explique les techniques et astuces telles qu’elles sont enseignées à la Royal School Needlework. Une école réputée pour la qualité de ses cours de broderie main.
Après une courte introduction et un brin d’histoire, l’auteur présente le matériel. Puis vient un chapitre intéressant pour celui ou celle qui souhaite créer ses modèles. Comment choisir ses couleurs ? Ou trouver l’inspiration ? Comment planifier son projet ? …
On continue sur une étape importante : comment préparer son ouvrage ? Plusieurs techniques de transfert de motif sont abordées, ainsi que différente façon de tendre son tissu selon les besoins du projet.
J’y ai beaucoup appris, notamment comment utiliser correctement mon cadre à enroulement (ou métier rotatif).
Ensuite, un chapitre est entièrement consacré aux principaux points de broderie, dont le passé empiétant celui qui nous intéresse ici.
Sarah Homfray nous invite à remplir un rectangle pour comprendre la méthode. Même si ce n’est pas très engageant, on n’hésite pas, on se lance et on s’amuse avec les couleurs !
On y apprend notamment comment ne pas faire de nÅ“ud sur l’envers de l’ouvrage et obtenir des contours plus nets. Après ce petit échauffement, on peut commencer les exercices, ce qui est l’objet du prochain chapitre du livre.
« Avant de commencer », les exercices
L’auteur explique qu’il existe plusieurs approches de la peinture à l’aiguille au travers d’exemples simples à réaliser. Broder de façon naturaliste, c’est-à -dire que les points suivent le mouvement des formes, ce qui donne un rendu plus naturel (vase 4 et la banane) ou bien une peinture à l’aiguille dite unidirectionnelle où l’ensemble des points vont dans le même sens (vase 3 et la carotte).
(Ci-dessous, dos de l’ouvrage)
Les projets à étudier
Une partie du livre est consacrée à l’étude de projets, chacun apportant un savoir-faire spécifique : courbes serrées (les courbes bleues), mélange des couleurs (les billes), formes complexes (le coquelicot)… Jusqu’au projet le plus difficile les feuilles d’automne.
Pour chaque projet, un schéma avec l’ordre de la réalisation, un croquis tonal et un schéma des directions des points est donné pour aider à la réalisation de la broderie. En revanche vous ne trouverez pas un projet expliqué étape par étape.
La référence des couleurs est donnée à titre indicatif. Elle est soit en DMC soit en Anchor, selon le projet. Il faut donc parfois faire quelques conversions si l’on souhaite suivre le modèle à la lettre.
Les motifs proposés ne sont pas très grand, ce qui permet de ne pas passer trop de temps sur un exercice, mais cela peut rendre le travail plus difficile car plus minutieux.
Je pense notamment au projet des courbes bleues. J’ai rencontré quelques difficulté à broder les formes. C’était un peu trop petit pour mon niveau actuel.
Aller plus loin
Un petit chapitre est consacré aux fonds peints. J’ai commencé à faire quelques expériences. Des Promaker sont utilisés pour le fond jaune derrière la banane et de la peinture pour textile de la marque Pébéo pour le fond des feuilles d’automne.
Le livre propose également d’aller plus loin dans la technique. C’est-à -dire, essayer de nouveaux fils un peu plus délicat à travailler, ou sur de nouveaux supports… Je n’en suis pas encore à là .
Pour terminer, il y a une toute petite galerie d’inspiration, un pas à pas pour apprendre à encadrer sa broderie et une double page très utile pour corriger les problèmes que l’on peut rencontrer lorsque l’on débute en peinture à l’aiguille.
Conclusion
« Peinture à l’aiguille » est un livre qui aborde la technique dans sa globalité. Sarah Homfray nous accompagne de la création d’un projet jusqu’à sa réalisation tout en passant par l’apprentissage du point avec des exercices pertinents. De nombreux conseils avisés sont donnés tout au long de l’ouvrage ce qui est pour moi un vrai plus.
Après quelques exercices et projets, j’ai constaté de réel progrès dans mes peintures à l’aiguille. La dernière en date étant les feuilles d’automne où je n’ai plus aucun problème de plis autour de ma broderie !
Peinture à l’aiguille – Sarah Homfray – Editions de Saxes
3.8/5
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| Le contenu | Le livre aborde toutes les étapes importantes pour apprendre la technique de la peinture à l’aiguille et une fois maîtrisée, se lancer dans la création. | 5/5 |
| Les modèles proposés | Certains motifs ne sont pas très attrayant (avis très personnel), par contre ils sont choisis avec pertinence par l’auteur pour aborder des problématiques différentes à chaque projet. | 3/5 |
| Les explications | Le livre contient beaucoup d’astuces et de conseils, les explications sont claires. Il n’y a pas de pas à pas pour les projets. | 4/5 |
| Les photos et illustrations | Photos nettes et pertinentes, mais parfois un peu petites dû à la taille du livre. | 4/5 |
| La mise en page, aspect général du livre | Livre facile à prendre en main de par son format A5 et sa reliure en spirale. Une mise en page peu élégante et désordonnées sur l’ensemble. | 3/5 |
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